
La crise énergétique relance la débat sur les transports actifs, marche et vélo.
Adopter les transports actifs pour les trajets de courtes distances permettrait de réduire à la fois les émissions de gaz à effet de serre GES et la dépendance énergétique de la France.
Autre avantage : les transports actifs, en particulier vélo et marche, induisent un certain niveau d’activité physique, qui permettent d’éviter un grand nombre de maladies chroniques.
Des bénéfices cumulés santé-climat
De nombreuses études ont souligné la pertinence de promouvoir les mobilités actives, que ce soit au vu de leurs bénéfices sanitaires ou des bénéfices économiques associés, qui dépassent généralement de très loin les sommes investies.
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