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Quel avenir pour la voie d’accès au Mont Blanc ?

Un rapport envisage l’avenir de l’itinéraire privilégié pour accéder au sommet du mont Blanc pour les deux ou trois décennies qui s’ouvrent.

Publié le 29 décembre 2024

Au cœur du plus grand et plus haut site classé de France, l’itinéraire privilégié pour accéder au sommet du mont Blanc est jalonné de refuges et équipements d’aide à la progression.  

Le rapport “Avenir de la voie, dite normale, d’accès au mont Blanc - Site classé du Mont-Blanc (Haute-Savoie)” envisage leur avenir pour les deux ou trois décennies qui s’ouvrent.
Il a été rédigé après avoir recueilli les réflexions de nombreux acteurs de la communauté montagnarde et s’être rendu, à pied, sur place.
Il réaffirme tout d’abord la vocation de course de haute montagne de cet itinéraire qui nécessite préparation physique et expose à des aléas naturels dangereux.
Il souligne la convergence entre les valeurs de l’alpinisme.
 

La fréquentation, le facteur prioritaire
La fréquentation de cette voie d’accès au sommet, a dû être régulée et contrôlée dans le cadre d’un arrêté de protection des habitats naturels.
Elle reste étroitement corrélée aux capacités d’hébergement en refuge et à l’indispensable limitation du nombre d’alpinistes présents simultanément sur la voie.
 

Les préconisations du rapport  
Le rapport préconise que les équipements (refuges et aide à la progression) restent aussi limités, sobres et discrets que possible vis-à-vis du paysage, de l’environnement et du caractère de haute montagne, lieu d’exercice de l’alpinisme, de ces lieux.
Cela passe notamment par l’alignement (sans augmentation) des capacités des refuges de Tête Rousse et du Goûter et la suppression du « camp de base » de Tête Rousse.
Consulter le rapport
“Avenir de la voie, dite normale, d’accès au mont Blanc - Site classé du Mont-Blanc (Haute-Savoie)”

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