
Des grandes métropoles urbaines s’engagent à rallumer les étoiles !
Des métropoles s'engagent
Alès, Mende, Millau, Nîmes Métropole, Montpellier Métropole Méditerranée et le Parc naturel régional des Grands Causses ont signé une charte visant à réduire la pollution lumineuse sur leur territoire d’ici à 2030.
Cet engagement collectif concerne un territoire qui compte plus de 1 million d’habitants !
Une belle avancée pour la biodiversité nocturne, la santé humaine, et les économies d'énergie.
En savoir plus sur l'engagement des métropoles
La Réserve de Ciel étoilé (RICE)
Une réserve internationale de ciel étoilé (RICE) est une région où le ciel et l'environnement nocturne sont protégés et présentent des qualités exceptionnelles.
En 2024 la France compte cinq réserves internationales de ciel étoilé.
Exemple du Parc national des Cévennes.
En 2016, 2 communes du sud Aveyron pratiquent l’extinction partielle de l’éclairage public.
Aujourd’hui, elles sont 71 à être engagées en faveur de la réduction de la pollution lumineuse de nuit.
Ajouté à la modernisation des équipements à l'aide de LED, les consommations du parc luminaire du territoire ont diminué de 35%.
Afin d’encourager des pratiques plus vertueuses en faveur de la trame noire, une étude de l'impact de l'extinction pour la biodiversité est en cours, avec 5 Parcs du Massif central. Sa restitution est à venir.
Lire “Pollution lumineuse : plus de 2000 points rénovés sur l'ensemble du territoire“
Tout savoir sur la démarche RICE
Pour aller plus loin : Le ciel étoilé et la biodiversité nocturne
Les impacts de la pollution lumineuse
Les conséquences de l’excès d’éclairage artificiel ne se limitent pas à la privation de l’observation du ciel étoilé.
Elles sont aussi une source de perturbations pour la biodiversité (modification du système proie-prédateur, perturbation des cycles de reproduction, des migrations…) et représentent un gaspillage énergétique considérable.
En savoir plus https://www.ecologie.gouv.fr/politiques-publiques/pollution-lumineuse