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La cueillette des plantes sauvages constitue une tolérance et non un droit. La réglementation est stricte pour protéger la ressource.
Publié le 12 août 2015

La cueillette des plantes sauvages constitue une tolérance et non un droit. La réglementation est stricte pour protéger la ressource.
Les produits du sol n’appartiennent qu’à leur propriétaire, même sur le domaine public. Sauf pour les espèces protégées, il existe une tolérance à la cueillette, encadrée à l’échelle d’un département.
L'été est le temps de la cueillette des petits fruits et baies sauvages, ressource alimentaire non négligeable pour la faune sauvage mais aussi convoitée par les randonneurs et usagers pour leurs saveurs. Par exemple, dans le cœur du parc national des Écrins, la cueillette des baies (myrtille, airelle, fraise des bois, groseille, mûres, framboise) est autorisée pour une consommation domestique, c'est à dire « familiale » et limitée à 1kg par jour et par personne.L'usage de tout instrument de collecte, et notamment du peigne, est par ailleurs interdit.
En savoir plus sur la protection de la faune et flore sauvages La-protection-de-la-faune-sauvage.

FFRandonnée 12 août 2015

 

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